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En développement : AMX-30B2 Brenus

Commandants !

Dans le dernier article, nous avons discuté du programme AMX-50 et son destin maudit, qui laissait l'armée française des années 50 avec une seule option : acheter les M47 Patton obsolètes que les Américains essayaient de vendre. Naturellement, le meilleur moyen de se débarrasser de l'équipement obsolète est de le revendre à vos alliés. C'est pourquoi des centaines de ces chars ont fini en France, en Italie, en Espagne et en Allemagne de l'Ouest.

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AMX-30B2 Brenus

Mais, contrairement à ce que prêchaient certains funestes prophètes à l'époque, l'achat d'équipement étranger ne signifiait pas la fin de l'école française de conception de chars. Bien au contraire : dans la seconde moitié des années 50, la France et l’Allemagne de l’Ouest ont uni leurs forces et se sont lancées dans un projet commun, qui se terminerait du côté allemand avec le Leopard 1 et du côté français avec le char AMX-30.

La coopération commença en 1956 avec comme objectif le remplacement du M47. L'Allemagne de l'Ouest et la France étaient naturellement conscientes de son obsolescence et s'efforçaient de la remplacer le plus rapidement possible, idéalement avec un produit d'origine nationale. Le projet s'appelait “Standartpanzer” ou “Europa-Panzer” (même du côté français).

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M47 français à Alger, avec son commandant, le futur président Jacques Chirac, 1956

L’idée de base du projet était qu’aucune quantité blindage acier ne serait capable de protéger le char contre les obus antichars HEAT et les missiles guidés modernes apparus au milieu des années 50. L'ATGM SS.11 conçu par la France, apparu pour la première fois en 1956, était un monstre, capable de vaincre 600 mm de RHAe, chose à laquelle les blindés en acier de l’époque ne pouvaient résister. Par conséquent, il était logique de le blinder suffisamment pour protéger l’équipage contre les mitrailleuses lourdes et les canons mitrailleurs, mais guère plus. En 1957, le cahier des charges du tank fut établi en conséquence :

  • Taille réduite (3,15 m de large, 2,15 m de haut) pour en faire une petite cible
  • Canon de 105 mm pour la puissance de feu
  • Moteur à essence à refroidissement par air, d'un ratio poids/puissance d'au moins 30 chevaux/tonne
  • Suspension à barre de torsion avec amortisseurs hydrauliques
  • Portée d'au moins 350 km

Plus tard cette année-là, l'Allemagne et la France convinrent de construire de manière indépendante des prototypes basés sur ces exigences, ce qui marqua le début d'une scission entre l'Allemagne et la France. L’Italie a officiellement adhéré au programme en 1958, mais n’avait pas de bureau de design capable de lui produire une variante et leur partie du programme n’allait nulle part, même si certains projets (classés, et sur du papier) existent. En outre, il était légalement interdit à l'Italie de concevoir des chars après l'issue de la Seconde Guerre mondiale : toute conception de ce type serait conservée dans le plus strict secret. Cette interdiction fut levée au début des années 70 (vraisemblablement en 1973) On peut donc affirmer avec certitude que toutes les créations italiennes antérieures à 1973 et qui ont été “dévoilées” relativement récemment sont entièrement bidonnées.

Inutile de dire que la politique jouera un grand rôle dans le programme. Les Allemands étaient le mouton noir de l'Europe à cette époque. Seulement 15 ans après le règlement du conflit le plus dévastateur de l'histoire de l'humanité, de nombreux hommes politiques français considéraient leurs alliés contre le communisme avec méfiance. Une crise politique majeure survint à la fin des années 50, lorsque la France de De Gaulle refusa de partager la technologie de ses armes nucléaires avec l’Italie et l’Allemagne de l’Ouest, ne voulant apparemment pas irriter les Américains et les Britanniques. En réalité, les Français voulaient simplement conforter leur hégémonie nucléaire en Europe continentale, ce qui n'a pas échappé aux Allemands. Par conséquent, la coopération franco-allemande commença à se fissurer sérieusement.

Alors qu’en Allemagne deux équipes travaillaient sérieusement sur le futur Leopard, en France une seule entreprise était capable de gérer un projet aussi important : l’Atelier de Construction d’Issy-les-Moulineaux, plus connu sous le sigle AMX. Le chef du projet était initialement le directeur d’AMX, le Général Joseph Molinié, un ancien concepteur de chars et un vétéran de l'entreprise. Il rejoignit AMX en 1936, en devint le directeur en 1945 et prit sa retraite en 1961.

En se basant sur le cahier des charges de 1957, AMX construisit deux prototypes entre 1960 et 1961. Ces deux premiers prototypes étaient plus qu'inspirés par le T-54 soviétique, tout spécialement en ce qui concerne la tourelle. Le concept de tourelle oscillante a été abandonné en raison de ses nombreux défauts. Certes, ce fut un succès sur l’AMX-13, mais c'était trop gadget pour un CCP. À la place, le tank reçut une tourelle moulée conventionnelle. Elle était très arrondie, spécialement à l'arrière, avec un masque imposant à l'avant.

Elle était aussi assez fine – bien que le châssis frontal était bien incliné, l'équipage n'était protégé de manière fiable que contre les tirs de canon mitrailleur 20 mm. Par contre, cela rendait le char assez léger, son poids atteignant environ 32,5 tonnes. Les prototypes étaient propulsés par un moteur à essence 12 cylindres Sofam 12 GS de 720 ch et avaient un excellent rapport poids/puissance de 22 ch/t (bien meilleur que la série Patton) et une vitesse maximale de 65 km/h.

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AMX-30 Prototype

Le moteur, cependant, était une source de contentieux, parce que les Américains et les Allemands se dirigeaient tous deux vers des motorisations diesel (ou, dans le cas allemand, vers les moteurs polycarburants) dans le but d’augmenter la portée de leurs chars. En effet, dans le cas du tank américain M60, le passage de l’ancienne série AV-1790 vers le diesel AVDS-1790 vit sa consommation de carburant augmenter jusqu’à 60 %.

Les Français utilisaient des moteurs à essence depuis longtemps pour des raisons logistiques (en temps de paix, l’essence est plus facile à obtenir que le diesel et les tanks pourraient fonctionner avec du carburant de qualité civile), mais les avantages des moteurs diesel ne pouvaient être ignorés. Malheureusement, ils ne disposaient pas d'un moteur diesel adapté, ce qui explique pourquoi la division française d'Hispano-Suiza fut chargée de le concevoir.

Une autre partie très intéressante de ce tank était sa puissance de feu. Les exigences de 1957 demandaient l'usage du calibre 105 mm, ce qui conduisit souvent à la fausse hypothèse selon laquelle les Français envisageaient d’adopter le L7 britannique, comme les Allemands. En réalité, les Français avaient leur propre canon rayé L/56 de 105 mm appelé CN-105 F1, conçu par une société qui s'appelait à l'époque Atelier de construction de Bourges. La société a ensuite été renommée EFAB et, en 1990, elle est devenue une partie du groupe GIAT et enfin, en 2007, une partie de Nexter. C’est pourquoi vous pouvez parfois entendre le canon français (ou ses variantes) être appelé GIAT CN-105. Ce qui rend le canon intéressant visuellement est l’absence d’évacuateur du canon (la bosse distincte sur le canon), puisque le canon utilise un système différent pour éliminer les gaz (de l’air comprimé).

Le canon n'était pas vraiment spécial, mais ce qui était intéressant étaient ses munitions. Pour faire court, les Français examinèrent les derniers développements en matière de munitions cinétiques et les comparèrent aux obus HEAT. Ils décidèrent ensuite de produire une sorte d'hybride - un obus HEAT à grande vitesse initiale afin de le rendre précis à longue distance. Après tout, les obus HEAT étaient très efficaces contre les chars soviétiques tout en acier. Le problème avec cette approche était le canon rayé qui faisait tourner l'obus sur lui-même. Normalement, cette rotation est une bonne chose, car ce sont les rayures du canon qui stabilisent l'obus. Malheureusement, la rotation a également un effet très négatif sur les ogives HEAT, car lorsqu’elles tournent, la force centrifuge disperse le jet de métal que ce type d'obus utilise pour pénétrer le blindage ennemi.

Les Français firent quelque chose d'assez malin : ils ont divisé l'obus en deux couches, séparées par des roulements à billes. La couche externe de l'obus était stabilisée par la rotation standard causée par les rayures du canon, mais la partie interne contenant l'obus lui-même restait relativement immobile, permettant de bien meilleures performances. Cet obus était appelé Obus G (ou OCC 105 F1). Ce fut un succès - l'obus avait une vitesse initiale élevée de 1000 m/s et pouvait pénétrer 400 mm d’acier avec une portée effective maximale de 3000 mètres. Un obus standard HE était également disponible pour l'accompagner, tout comme un obus fumigène et un obus d'entraînement.

Pour synthétiser, les Français construisirent un char élancé, bas et mal protégé, doté d’une mobilité et d’une puissance de feu excellentes, exactement comme le souhaitaient les militaires. Sept prototypes furent construits en 1962 et, en 1963, ils participèrent à une série d'essais comparatifs contre le Leopard 1.

Les essais ne se terminèrent pas très bien pour les Français : bien qu'il était 6 tonnes plus lourd, le char allemand s'avéra plus mobile et était, sur tous les plans, un meilleur véhicule. Il ne faut pas oublier que les Français et les Allemands travaillaient toujours ensemble sur le projet – le vainqueur deviendrait le char standard de toute la partie européenne de l'OTAN. Du moins, c'est ce que pensaient les Allemands.

Les Français, bien entendu, n’avaient absolument aucune intention de rendre leurs forces blindées dépendantes de l’Allemagne de l’Ouest et, maintenant qu’ils disposaient de leur propre machine, ils conclurent que ce projet commun avait perdu son utilité. L'argent du budget français alloué au projet fut “déplacé” de manière à ce que la production ne commence pas aussi tôt que les Allemands le voulaient. L'effet fut immédiat – les deux pays se séparèrent en 1963, laissant les Français faire leurs propres affaires.

Entre-temps, deux autres prototypes du char avec des tourelles et des masques modifiés furent produits et envoyés à l’armée française pour des essais. Ces essais furent un succès et le char a été envoyé en production en série sous la désignation AMX-30B (les prototypes de pré-production ont été renommés de manière rétroactive en AMX-30A).

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AMX-30A

La version de production initiale de l'AMX-30B pesait 36 tonnes et embarquait un équipage de quatre personnes (chauffeur, tireur, chargeur et commandant). Parmi les chars moyens de l'époque (ou CCP de première génération, si vous préférez), il était de loin le char de l'OTAN le plus léger, avec un poids comparable au T-54/55 soviétique. Le blindage était en acier et, comme sur les prototypes, très léger, protégeant l’équipage contre les canons mitrailleurs de 20 mm seulement (la tourelle n’avait, par exemple, que 50 mm d’épaisseur). L'avant du châssis était incliné afin de faire ricocher autant de tirs que possible. Le tank disposait également de deux nacelles de lance-pots fumigènes et d'un système de protection NBC.

La tourelle était basée sur les designs antérieurs du prototype AMX-30, mais sa forme a été modifiée, en particulier à l'arrière et autour de la zone du masque. Il était désigné sous le nom T.105. Le canon de 105 mm pouvait s'élever à +20 degrés et se baisser à -8 degrés. Vu la faible hauteur de la tourelle, inspirée par le projet du T-54 soviétique, il s'agissait d'un excellent ratio. Le canon était chargé manuellement et le véhicule transportait 47 obus. L’arme coaxiale était une mitrailleuse de 12,7 mm, qui a ensuite été transformée en canon automatique CN 20 F2 de 20 mm, très efficace contre les cibles molles et les cibles volantes à basse altitude, grâce à une élévation potentielle de 20 degrés. Un projecteur caractéristique était également monté à l'avant de la tourelle - ce projecteur pouvait fonctionner aussi bien en lumière blanche qu'en mode infrarouge.

Sur le plan de la mobilité, le véhicule a conservé les excellentes propriétés du prototype, bien que le moteur ait été remplacé par un moteur diesel Hispano-Suiza HS 110 de 680 ch associé à la transmission mécanique 5SD-200D, permettant au tank d’atteindre la vitesse de 65 km/h. Il convient de noter que le moteur est installé dans une configuration “bloc” compacte, permettant de remplacer le bloc moteur entier en 45 minutes.

Même s'il fut accepté en service en 1963, la véritable production en série ne fut lancée qu’en 1966. Au cours de ses trois décennies de production, plus de 3 500 variantes d’AMX-30 ont été construites, la France seule ayant à son service 1 355 AMX-30, avant de l'en retirer en 2011.

Bien entendu, le char n’a pas été utilisé pendant plus de quatre décennies en restant sous sa forme originale. Le char fut doté d'un nouveau système de stabilisation du canon au début des années 1970 et, en 1979, une importante modernisation fut introduite sous la désignation AMX-30B2.

L'AMX-30B2 avait comme principales améliorations :

  • Un nouveau système de contrôle de tir
  • Un masque de tourelle amélioré
  • Un moteur amélioré
  • Une suspension améliorée
  • De nouvelles munitions APFSDS

Le SCT original avec télémètre à coïncidence a été mis à niveau pour un modèle appelé COTAC (ou AMX M581), doté d’un télémètre laser et d’une caméra thermique CASTOR, augmentant ainsi considérablement la valeur au combat du char. Le SCT est, bien entendu, entièrement informatisé. Le blindage du masque de tourelle fut également amélioré (la tourelle fut reconçue, sous le nom T.105MI).

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AMX-30B

Le moteur diesel d'origine Hispano-Suiza HS-110 de 680 ch a été mis à niveau vers le modèle HS-110-2, offrant une meilleure fiabilité. La puissance en chevaux n’est pas vraiment claire, car plusieurs sources (relativement fiables) diffèrent, indiquant 680 ou 720 ch, mais comme le manuel de l'AMX 30B2 indique 680 ch, nous allons utiliser ce chiffre. Le moteur était associé à une nouvelle boîte de vitesses SESM ENC200 semi-automatique, le moteur et cette boîte compensant ensemble le poids accru du véhicule (37 tonnes). La suspension et les amortisseurs furent également renforcés. Parmi les autres améliorations, citons un nouveau système NBC.

Enfin, le char reçut en 1981 une nouvelle munition à haute vélocité APFSDS à pénétrateur en tungstène. Cette munition est capable de pénétrer dans un blindage de 150 mm orienté à 30 degrés par rapport à l’horizontale à 5 km de distance. Il y avait deux sources de chars AMX-30B2. D'abord, 166 chars AMX-30B2 ont été construits intégralement à partir de 1981. Ensuite, 493 chars AMX-30B plus anciens furent mis à niveau au standard B2.

L’AMX-30B2 est devenu le principal CCP français jusqu’à l’apparition du Leclerc, et il a été utilisé avec succès par les Français lors de la guerre du Golfe (Opération Daguet) aux côtés des véhicules d’appui feu à roues AMX 10 RC. Leur déploiement en Irak a été un succès, bien que relativement sans réelle agitation par rapport à des batailles aussi importantes que 73 Easting, les troupes françaises affrontant des forces irakiennes démoralisées et les écrasant sans subir de pertes significatives.

Après la guerre du Golfe, les unités blindées françaises ont commencé à recevoir les premiers chars Leclerc, remplaçant les vénérables AMX-30B. Cependant, avec la dissolution de l'Union soviétique, il se produisit en France la même chose que partout ailleurs à l'Ouest : comme la plus grande menace n'existe plus, les budgets militaires furent réduits, y compris la production de chars. Il allait donc falloir un certain temps pour remplacer complètement l’AMX-30B et, comme le char passerait encore une ou deux décennies en service, il était nécessaire d’augmenter sa valeur au combat.

Son point faible le plus évident était son blindage. Le char n’en avait pratiquement pas, ce qui était convenable pour la doctrine et les tactiques des années 1960, mais était un handicap considérable dans les années 1990. Pendant Opération Daguet, les AMX-30B des Français allaient éviter les T-72 irakiens, car ils étaient considérés comme vulnérables contre ces chars. La prolifération générale des ATGM et des RPG, contre lesquels le char était vulnérable, était une autre menace sérieuse.

Une solution partielle apparut à la fin des années 1990, lorsque GIAT mit au point un kit de blindage réactif explosif appelé Brenus. Ce kit se composait de 112 modules ERA assez petits appelés BS G2, pesait environ 2 tonnes et fournissait une protection supplémentaire équivalente à 400 mm d’acier incliné à 60 degrés contre les obus HEAT. Il pouvait également résister à des tirs de canons mitrailleurs léger, jusqu'à 20 mm. Plusieurs chars AMX-30B2 des unités françaises d’intervention rapide (les plus susceptibles d’être les premiers à passer à l’action) furent modernisés avec ce kit, et deux bataillons complets de chars AMX-30B2 furent convertis avec des fixations permettant de transporter ce kit en cas de besoin. Cette variante de l'AMX-30B2 est connue simplement sous le nom AMX-30B2 Brenus, bien que le nom soit parfois écrit tout en majuscule ou avec un double n, selon la source.

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AMX-30B2

La dernière étape de mise à niveau de l’AMX-30B2 eut lieu en 1998, date à laquelle il fut décidé de remplacer les vieux moteurs Hispano-Suiza qui, en raison de leur longue durée de vie, souffraient de problèmes de fiabilité. Ils furent remplacés par les moteurs diesel américains Mack E9, d’une puissance de 750 ch. La transmission de l’AMX-30B2 fut conservée. Ainsi mis à niveau, le char servira jusqu'à sa retraite en 2011, après une longue et brillante carrière. Il convient de noter que l’AMX-30B a également été exporté avec succès dans plusieurs pays et que ces modèles d’exportation ont eux-mêmes une histoire intéressante, mais cela dépasse le cadre de cet article. Revenons sur ce que sera l’AMX-30B dans Armored Warfare.

Pour commencer, sachez que nous introduirons deux chars de rang 4 AMX-30B dans Armored Warfare. Le modèle de base de l’AMX-30B2 sera un char de combat principal de rang 4 Premium (disponible dans la branche contre de l’or) tandis que l’AMX-30B2 Brenus sera un CCP de progression de rang 4. Globalement, les deux chars se joueront à peu près de la même façon, avec la version de progression ayant accès au kit ERA, ce qui n’est pas banal pour un véhicule de rang 4.

Mais avant d’aller plus loin dans notre description, revenons un instant sur la revendeuse française, Francine De Laroche, et au concept général de son offre de véhicules. Un thème général se remarque ici – et ce thème se résume le mieux par le mot “choix”. Ce concessionnaire proposera non seulement plusieurs choix de véhicules sur plusieurs rangs, mais proposera aussi de configurer vos véhicules en fonction de votre gameplay, via des modules d'amélioration alternatifs ainsi que par des systèmes d'armes différents, pour différents rôles.

C'est le cas avec l'AMX-30B2 Brenus et son équivalent Premium. À la base, ces chars seront, comme le Leopard 1, parmi les plus légers et les plus mobiles de leur catégorie, avec une excellente puissance de feu contrebalancée par une protection relativement faible.

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Ce qui les rendra vraiment uniques sont les aptitudes suivantes :

  • Vous aurez à votre disposition deux systèmes d’armement – à vous de choisir entre un canon principal de 105 mm et un canon mitrailleur de 20 mm. Leurs temps de chargement seront indépendants les uns des autres et vous pourrez passer de l'un à l'autre à tout moment. Cela signifie qu’il sera possible de continuer à tirer avec le canon mitrailleur pendant que le canon principal se recharge.
  • Le canon rayé principal de 105 mm (comparable au L7A3 du Leopard 1) aura accès à un type spécial de munitions : les obus HEAT à grande vitesse (Obus G) avec une précision et des valeurs de pénétration nettement supérieures à celles des autres munitions HEAT de 105 mm
  • Vitesse élevée en marche arrière, permettant une retraite tactique rapide après une bataille De plus, les chars auront accès à des modules d'amélioration alternatifs spéciaux, qui modifieront leurs propriétés afin de correspondre au style de jeu que vous préférez :
  • Blindage : Choix entre plus de points de vie ou une meilleure protection de module
  • Puissance de feu : Choix entre causer rapidement des dégâts (temps de rechargement, bonus de temps de visée et de précision) ou la capacité à mieux tirer à longue distance (portée visuelle, puissants obus G (HEAT))
  • Mobilité : Choix entre des bonus pour un style de jeu de sniper tactique (camouflage, bonus de rotation de la tourelle et de mobilité hors route) ou améliorations générales de mobilité (moteur plus puissant, suspension plus robuste)

Les deux versions de l'AMX-30B2 proposeront ces options ainsi que les caractéristiques spéciales susmentionnées, la seule différence entre eux étant la présence de l'ERA Brenus sur le modèle de progression.

Enfin, et surtout, le char de combat principal OF-40 de rang 4, précédemment retiré de la branche Leopard, fera son apparition comme CCP alternatif de rang 4 dans la branche de Francine De Laroche – et ce ne sera pas le dernier véhicule italien à y figurer ...

Restez à l'écoute pour plus d'informations, et à bientôt sur le champ de bataille !

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